Livre 100 Façons de se Défendre dans la Rue Avec Armes de Émile André

 

Présentation du livre

Dans ce livre, Émile André nous livre 100 coups simples et pragmatiques de self défense et combat avec armes. Cet ouvrage est la réédition intégrale du livre paru en 1905 illustré avec 17 croquis.

C'est la suite de 100 façons de se défendre dans la rue sans armes.

Le livre est composé de six parties :
1. La Canne
2. Le bâton à deux mains
3. Couteau et poignard
4. Canne-épée et canne-matraque
5. Coup de poing américain, bague de défense et casse-tête
6. Armes à feu (Pistolet et revolver)

Émile André, né en 1859 et mort en 1943, est un journaliste sportif, auteur de nombreux ouvrages sur l'escrime et les arts martiaux. Il pratiquait l'escrime, la canne, la savate et le bâton et est le fondateur de la revue "L'escrime Française".

Ce manuel a pour cahier des charges « un jeu simplifié », c’est-à-dire la simplicité en maitre mot avec pour conséquence d’être plus facile à apprendre, exécuter et finalement, bien plus efficace en combat de rue.

 

 

Livre broché 100 façons de se défendre dans la rue avec armes

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Le livre en résumé

  • Auteur : Émile André
  • Parution : 1905
  • Livre broché 23 x 15 cm
  • Police Calibri 14
  •  108 pages 

 

 

Table des matières

 
Note de l’éditeur
Avant-propos
Première partie. La Canne
Notions préliminaires
1 & 2 : Coups de bout à la figure et au corps
3. Coup de talon
4. Coup de tête
5. Coup de figure à droite
6. Coup de figure à gauche
7 et 8. Coupés (ou brisés) à droite ou à gauche
9 et 10. Coups de flanc à droite ou à gauche
11 et 12. Coups de jambe à droite ou à gauche
13 et 14. Coup de manchette (deux façons de l’exécuter)
15 et 16. Enlevés de gauche à droite et de droite à gauche
Parades
17. Parade de prime haute
18. Parade de prime
19. Parade de prime basse
20 et 21. Parades de seconde et seconde haute
22. Parade de tierce 37
23 et 24. Parades de quarte et quarte haute
25. 26 et 27. Façon d’éviter, d’esquiver les coups
Observations sur les ripostes
28. 29. 30. 31 .32. 33. 34. Coups d’arrêt
35. 36. 37. Doublés
Observations sur les feintes et les fausses attaques
38. 39. 40. 41. 42. 43. 44. 45. Quelques attaques composées comprenant une seule feinte
46. 47. 48. 49. 50. 51. 52. 53. Autres attaques composées comprenant une seule feinte
54 et 55. Ripostes composées
Deuxième partie. Le bâton à deux mains
Notions préliminaires 
56. et 57. Coups de bout à la figure et au corps (dans la région de l’estomac) 
58. 59. 60. 61. 62. 63. 64. 65. 66. Coups de bâton proprement dit 
67. 68. 69. 70. 71. 72. Quelques coups composés
73. 74. 75. 76. 77. 78. 79. 80. Parades
Troisième partie. Couteau & poignard
Notions préliminaires
Distance, marche, développement 
81. 82. 83. Coups à la main, à l’avant-bras, à la figure 
84. 85. Coups au corps, dans la ligne haute et dans la ligne basse
86. 87. 88. 89. 90. 91. Parades
92. 93. 94. Esquives
95. 96. 97. Coups d’arrêt
98. 99. 100. Ruses diverses
Quatrième partie. Canne à épée & canne-matraque
Canne-matraque
Cinquième partie. Coup de poing Américain, bague de défense & casse-tête
Sixième partie. Armes à feu
Conseils pour les premiers exercices de tir
Conseils pour le tir rapide en prévision du combat réel
Notes complémentaires
Notes relatives à la canne
Annexes
Dans la même collection
Mentions légales

 


Extrait gratuit du livre 

 
Retrouvez ci-dessous les premières pages du livre pour vous faire une idée. 


Avant-propos


Après 100 façons de se défendre dans la rue « sans armes », voici 100 autres façons avec armes.

En complétant ainsi un petit cours pratique de défense personnelle, avons-nous besoin de rappeler qu’il faut souvent ne compter que sur soi, malgré la vigilance des braves sergots et non moins vaillants gendarmes ?

Leur intervention tardive n’a été que trop justement comparée à celle des carabiniers d’une fameuse opérette.

Donc, sachons pratiquer le SELF-DEFENSE, comme disent les Anglais : c’est particulièrement utile à ceux qui habitent les quartiers excentriques des grandes villes, ou qui ont à cheminer tard par des routes plutôt désertes.

En dehors même des agressions possibles de la part des malfaiteurs, que d’occasions ou il est bon de montrer que l’on saurait rendre, et même avec usure, coup pour coup !

On trouve des gens querelleurs un peu partout. Ceux qui ont une grande force physique sont parfois tentés d’en abuser.

Moins vigoureux, et d’autre part, peu entraîné à la boxe ou à la lutte, on rétablit l’équilibre des forces à l’aide d’une canne, arme simple, que l’on a souvent avec soi pour s’appuyer ou « pour se donner une contenance », mais qui devient particulièrement utile bien maniée.
Tout d’abord, elle permet de tenir l’adversaire à distance qu’il soit ou non lui-même armé de la même façon.

Se voyant ainsi menacé, il pourra hésiter à en venir aux voies de fait. S’il passe outre, on peut l’arrêter, le mettre même hors de combat, avec une « volée » de coups de canne, ou simplement avec quelques coups bien choisis, et sans risquer de le tuer comme une balle de révolver.

Inutile de rappeler que le revolver, le « rigolo » en style argotique, ne doit être employé qu’à la dernière extrémité, et contre des escarpes vous menaçant de mort ou de blessure graves.

Du reste, on n’a pas constamment un revolver sur soi. Même si l’on est muni de cette arme, on ne peut toujours s’en servir à temps, car il faudrait, pour être sûr d’éviter les surprises, ne pas cesser d’avoir le doigt sur la détente.

La canne, au contraire, vous la tenez souvent toute prête à vous défendre.

Raison de plus pour dire qu’elle constitue une arme vraiment pratique, à la condition, bien entendu, d’être très maniable, ni trop lourde, ni trop légère, et en bois solide comme celui du cornouiller.

Il suffit déjà d’un exercice assez court, en se bornant à des coups bien choisis et l’on répète de temps à autre, pour acquérir une expérience très utile du maniement de la canne.

Expliquer ce jeu simplifié, tel est le but principal que je me suis proposé.

J’ai consacré une courte étude au « bâton à deux mains » et qui n’a pas d’usage « en ville », mais que l’on emploie à la campagne, surtout en certaines régions.

Le maniement du couteau, qui n’est trop entré dans les mœurs d’un monde spécial en quelques grandes villes, est l’objet d’une étude assez détaillée.

J’avais vu dans un livre espagnol une théorie de la NAVAJA qu’il était intéressant et curieux de combiner avec des coups de boxe française.

C’est ce que j’ai cherché à réaliser : de là des conseils pratiques pour ceux qui, menacés de coups de couteau, tirent eux-mêmes un « eustache » plus ou moins long. Dame, il faut parfois combattre les Apaches avec leurs propres armes !

À titre accessoire, complémentaire, je me suis occupé des armes à feu. J’ai résumé les principes du tir au pistolet et au revolver, en joignant quelques conseils sur leur application en divers cas d’attaques nocturnes… ou même diurnes.

Émile ANDRÉ.


Première partie: La Canne


Pour le maniement de la canne, j’ai utilisé les excellents conseils de M. Leclerc aîné, le professeur si justement renommé.  
Notions préliminaires


Une canne solide, sans être trop lourde, pour être plus facile à manier, forme une arme défensive et offensive d’une grande utilité.
Voici en résumé les principes de l’escrime à la canne.

Manière de tenir la canne.

On la prend à environ deux centimètres du gros bout (si on la prenait tout à fait par l’extrémité, elle glisserait dans la main, à moins qu’elle n’eût une pomme ou ne fût recourbée) ; le pouce séparé des autres doigts sont réunis en dessous de la canne, dans la position de la garde, qui équivaut à celle de tierce au sabre.

Garde

Dans une querelle, lorsqu’on est sur le point d’en venir aux coups, on peut se dispenser de prendre absolument la garde normale, correcte ; on n’a pas toujours le temps de la prendre et l’on peut même avoir intérêt à la dissimuler pour que l’adversaire se livre, ait trop confiance. En pareil cas, par exemple, on se tiendra debout, le bras gauche allongé près du corps, le bras droit légèrement ployé, la canne un peu relevée, comme pour donner un coup debout, ou bien le bras droit et la canne tenus comme dans la première position du coup de manchette (fig.4).

Cela dit, voici des principes de la mise en garde, lorsqu’on s’exercice à la salle.
On place le pied droit à une semelle, une semelle et demie environ (suivant la conformation de chacun) en avant du talon gauche, en fléchissant légèrement sur les jambes.

On tient le corps droit, tourné de trois quarts vers l’adversaire, en s’effaçant assez sans qu’il en résulte de la gêne. Le corps doit être bien assis et équilibré sur les jambes, les jarrets légèrement pliés.

Par rapport au pied gauche, le pied droit est placé presque en équerre ; autrement dit les jambes sont légèrement « décroisées » pour qu’on ait plus d’équilibre ; la pointe du pied droit est placée dans la direction de l’adversaire, le talon droit presque en face du talon gauche.

La main droite est tenue soit à la hauteur du sein droit, soit plus fréquemment, un peu au-dessous, suivant la conformation de chacun ; le bras droit est ployé, la partie supérieure formant à peu près angle droit avec l’avant-bras.

Dans la position de la garde, la main droite présente la canne obliquement, le petit bout à hauteur du visage de l’adversaire.

La main gauche est placée derrière le dos, de façon à n’être pas atteinte par les mouvements que l’on fait soi-même avec la canne.

 
Démonstration de la position de garde avec canne



Fig. 1. La garde


Distance

Savoir apprécier la distance où l’on se trouve de son adversaire, ou simplement par abréviation « la distance » est évidemment très important.

Il faut bien juger à la fois la longueur de son bras, celle de son arme et l’ensemble de sa position.

On examine la longueur de son arme et la façon dont il la tient pour se rendre compte s’il peut vous atteindre sans marcher ou sans fendre.

Quant à la position de ses jambes, c’est le pied que l’adversaire tient en arrière qu’il faut voir d’abord, surtout s’il se met en garde comme un homme ayant sur certaine expérience de la boxe ou de la canne. Si l’adversaire a une grande garde, il ne peut porter son attaque qu’à une courte distance : on doit se méfier davantage, se rapprocher moins, car alors, il peut attaquer de loin.

Marche en avant ou en arrière

Si l’on est hors de portée, l’adversaire est forcé de marcher pour vous atteindre, ou de remplacer les pas par de petits sauts, ou « se fendre ». Veut-il, au contraire, se mettre hors de portée : il doit rompre, c’est-à-dire marcher en arrière ; il peut également remplacer les pas en arrière par de petits sauts.

De son côté, on a à employer ces divers modes de s’avancer ou reculer, en ne se portant en avant qu’avec beaucoup de prudence, surtout si l’on n’est pas tireur exercé. Nous exceptons, bien entendu, les cas ou l’on est pressé, pour une raison ou une autre et, ou il importe de se débarrasser au plus vide de son adversaire, sauf à risquer davantage.

La distance entre les deux pieds ne doit pas être trop grande (1), car cela empêche de marcher ou de rompre aisément, et d’autre part, la jambe placée en avant se trouverait alors trop exposée.

(1)    Autrement dit, il ne faut pas avoir une « garde trop grande » ou trop de garde. 

Allonge, fente ou développement

Une façon spéciale de se rapprocher de l’adversaire pour le toucher, sans marcher, consiste à « allonger », à « se fendre », à « se développer ».

Pour cela, tout en maintenant le corps droit, on tend légèrement le jarret gauche, on porte le pied droit en avant en rasant le sol (1) à la distance d’une semelle (2) environ, le genou droit à peu près perpendiculaire au coup de pied. Le pied gauche doit rester à la même place.

Étant fendu, pour revenir de cette position du développement à celle de la mise en garde, on replace le pied droit à la distance indiquée du pied gauche, les jarrets pliés et les bras se replacent en même temps dans la position de garde indiquée.

Tout en se développant, tout en se fendant, on porte un coup de canne d’après les principes que nous expliquons plus loin. On s’exerce d’abord à faire les différents mouvements de l’allonge en décomposant : on arrive très vite à les exécuter d’un seul temps. Les changements de garde, tout en portant des coups font partie de la voltige, utile contre plusieurs adversaires et dont nous parlerons à part.

(1)    Si on levait trop le pied en se fendant, cela ferait perdre de la vitesse (sans compter que c’est disgracieux en assaut).

(2)    Autrement dit, c’est ce qu’en escrime on appelle plutôt une demi-allonge. 
 

Façon de porter les coups de canne


Soit les coups de bout, soit les coups de canne proprement dits

Dans l’escrime de la canne, les coups de pointe sont remplacés par les coups de bout.

On appelle spécialement coups de canne, ceux qui correspondent aux coups de tranchant de sabre. Ils se portent avec plus de développement que ceux-ci, c’est-à-dire avec plus d’élan pris plus ou moins en arrière pour donner de la portée au coup.

Le coup de canne ne serait pas efficace sans un pareil élan (1) ; mais pour ne pas se découvrir imprudemment en prenant cet élan, il faut distinguer suivant les cas ou l’on se trouve et d’abord suivant la distance.

Il faut une distance suffisante entre les adversaires. Les coups de bout eux-mêmes demandent à être pris avec un certain élan en arrière, du moins en attaque.

Telles sont d’abord les observations générales que nous avions à faire avant de passer au détail des principaux coups et de leurs parades.

(1)     Si l’on ne donne pas à certains coups le développement voulu pour qu’ils soient efficaces, on appelle cela tirer devant, parce qu’il n’y a pas assez d’élan pris en arrière. 

1 & 2 : Coups de bout à la figure et au corps


C’est surtout à la figure et au creux de l’estomac que se portent les coups de bout.

Il faut songer qu’ils risquent de passer si l’adversaire se tourne, même légèrement, ou esquive la tête.

D’autre part, il faut se méfier, en portant un coup de bout, surtout au corps, que l’adversaire porte en même temps un coup de canne : on risque alors tout au moins le coup double, d’autant plus que la canne n’a pas de garde protectrice comme le sabre.

Sur un coup de canne (proprement dit), l’adversaire sera moins tenté de tirer en même temps que sur un coup de bout. Il sera tenté d’aller à la parade.

En riposte, le coup de bout à la figure après parade de tierce est pratique. Il se porte vite, sans prendre d’élan en arrière.

Naturellement, les coups de bout sont particulièrement efficaces si l’on a une canne terminée par une pointe en fer comme un alpenstock ou un épieu.

Avec une canne très lourde, comme une canne dite « d’entraînement », ils sont les seuls pratiques, car cette arme n’est pas facilement maniable pour les coups de canne proprement dits.

Parfois, à courte distance, on prend la canne vers le milieu, de la main droite ou on la prend à deux mains, en mettant la main gauche vers le milieu : dans le second cas, le coup de bout arrive avec d’autant plus de force.

Mais à la courte distance que cela suppose, ce sont plutôt les coups de poing et les coups de pied qui entrent en jeu et mieux vaut employer les coups et parades indiqués dans la boxe et la lutte (voir 100 façons de se défendre sans armes).

C’est à défaut de la connaissance suffisante de ces coups et parades que l’on se servira de sa canne dans le cas spécial que nous venons d’envisager.  


3. Coup de talon


Parfois, on peut se servir du gros bout de la canne, autrement dit donner un coup de talon, ou en faire la menace, comme dans la figure suivante.

À l’occasion, on donne le coup de talon avec les deux mains.

Au sujet des coups de bout, ajoutons qu’ils pourront être utiles comme simple menace destinée à arrêter un adversaire qu’on veut simplement tenir en respect.

Les tireurs de fleuret ou d’épée ont instinctivement les coups de bout dans la main.

Mais ils doivent tenir compte des observations faites plus haut.


 
Coup de talon figure avec canne

Fig. 2. Coup de talon
 


4. Coup de tête


Pour porter le coup de tête, il faut d’abord :

1er mouvement destiné à prendre de l’élan,
Porter rapidement la canne derrière soi en la faisant passer à gauche, la main droite derrière le sommet de la tête, la canne tombant droit derrière le dos, le corps légèrement incliné en arrière ; puis,

2nd mouvement, après avoir fait décrire à la canne un demi-cercle, l’asséner de l’achèvement du coup, la main droite est dans une position moyenne, le pouce en dessus.

Avec un peu d’exercice, les deux mouvements s’exécutent rapidement en un seul temps. Cette observation serait également à faire pour les coups qui suivent.

5. Coup de figure à droite


Pour porter le coup de figure à droite, il faut :

1er mouvement destiné à prendre de l’élan (fig.3),
Porter la canne derrière soi, tenue horizontalement, après l’avoir fait passer au-dessus de la tête, en tenant le bras droit ployé devant le cou ; en même temps, on efface davantage le corps qui se trouve placé de profil ;

2nd mouvement, on développe le coup en faisant décrire à la canne un demi-cercle, et l’on vient frapper la figure de l’adversaire à droite tout en ayant un mouvement de reins qui augmente la portée du coup.

Au moment de l’achèvement du coup, on tient la main les ongles tournés en dessous.



 
Position de départ pour coup à la tête avec canne

Fig. 3. Position de départ du coup de figure à droite


 *** Fin de l'extrait. Page 22/121 ***

 

 

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