Livre Toujours tricher Toujour gagner ! Les 36 stratégèmes Chinois : stratégie militaire pragmatique

 

Présentation

 

Les 36 stratagèmes (ou stratégies) est un traité chinois de stratégies qui décrit les ruses et les méthodes qui peuvent être utilisées pour L'emporter sur un adversaire. 

Le traité a probablement été écrit au cours de la dynastie Ming (1366 à 1610).

Ce petit livre (72 pages) est une synthèse facilement accessible et qui va droit à l'essentiel.

Les stratagèmes sont applicables à une action militaire, au monde de l'entreprise, à la self défense/protection personnelle ou tout simplement à un conflit de la vie quotidienne.

Ce petit traité plein de bon sens propose des solutions efficaces pour faire face à toutes sortes de batailles, même les plus critiques.

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Table des matières


I. STRATAGÈMES EN POSITION DOMINANTE
1. Traverser la mer sans que le ciel le sache
2. Assiéger Wei pour secourir Zhao
3. Assassiner avec une épée d'emprunt
4. Attendre en se reposant que l'ennemi s'épuise
5. Profiter de l'incendie pour piller et voler
6. Bruit à l'est ; attaque à l'ouest

II. STRATAGÈMES POUR LA CONFRONTATION

7. Créer quelque chose ex-nihilo
8. L'avancée secrète vers chencang
9. Regarder le feu depuis l'autre rive
10. Dissimuler une épée dans un sourire
11. La prune remplace la pêche dans l'impasse
12. Emmener la chèvre en passant

III. STRATAGÈMES POUR L'ATTAQUE
13. Battre l'herbe pour effrayer le serpent
14. Faire revivre un corps mort
15. Attire le tigre hors de la montagne
16. Laisser s'éloigner pour mieux piéger
17. Se défaire d'une brique pour attirer le jade
18. Pour prendre des bandits d'abord prendre leur chef

IV. STRATAGÈMES POUR LES SITUATIONS CONFUSES
19. Retirer le feu sous le chaudron
20. Troubler l'eau pour prendre le poisson
21. Le scarabée d'or opère sa mue
22. Verrouiller la porte pour capturer les voleurs
23. S'allier avec les pays lointains et attaquer son voisin
24. Demander passage pour attaquer

V. STRATAGÈMES POUR GAGNER DU TERRAIN

25. Voler les poutres, échanger les piliers
26. Injurier l'acacia en désignant le mûrier
27. Jouer l'idiot sans être fou
28. Monter sur le toit et retirer l'échelle
29. Sur l'arbre les fleurs s'épanouissent
30. Changer la position de l'invité et de l'hôte

VI. STRATAGÈMES POUR LES SITUATIONS DÉSESPÉRÉES
31. Le piège de la belle
32. Le piège de la ville vide
33. Le piège de l'agent double
34. Faire souffrir la chair
35. Les stratagèmes entrelacés
36. Courir est le meilleur choix

 

 

Extrait des premières pages du livre

 

I. STRATAGÈMES EN POSITION DOMINANTE


1. Traverser la mer sans que le ciel le sache


Dissimule tes secrets en évidence afin qu'on ne les perce pas à jour.

Ceux qui prennent trop de précautions sont susceptibles de ne plus être sur leur garde. Les actions familières n'éveillent pas la suspicion. Le Yin est l'aspect interne et non l'opposé du Yang.

Le grand Yang contient le grand Yin *.

Cette expression proverbiale est issue de l'histoire d'un ingénieux général des Tang, qui mit au point une méthode pour transporter l'empereur (considéré dans la Chine Impériale comme le fils du Ciel) sain et sauf sur la mer, en faisant en sorte que l'Empereur lui-même ne le sache pas. Le mot ciel peut aussi être interprété littéralement.

Dans les temps anciens, il était facile de mettre en place des opérations militaires secrètes sur terre en utilisant la protection d'abris naturels tels que les montagnes et les forêts, alors que l'espace d'eau ouverte de la mer n'offre aucun endroit où se cacher.

Donc, dans le but de traverser la mer sans que le ciel le sache, il faut se déplacer ostensiblement sur la mer mais comme si on n'avait aucunement l'intention de la traverser.

Chaque manœuvre militaire a deux aspects : le mouvement apparent et l'intention de base. En dissimulant les deux, on peut prendre l'ennemi complètement par surprise.

Mais un secret si idéal peut rarement être atteint avec les actuelles techniques de guerre. Dans la plupart des cas, maintenir l'ennemi dans une complète ignorance de nos propres opérations est moins aisé que de « traverser la mer sans que le ciel le sache ». La seule alternative est de pousser l'ennemi à négliger ou à mal interpréter l'intention de base de notre opération.

Autrement dit, s'il est hautement improbable que l'ennemi reste ignorant de nos actions, on pourra toutefois lui jouer des tours juste sous son nez.

* Les ruses secrètes ne sont pas incompatibles avec les actions ouvertes si elles sont cachées dedans. Le plus visible dissimule le plus secret.



2. Assiéger Wei pour secourir Zhao


Attaque un point faible de l'adversaire (ex : un de ses lieutenants), divise et règne.

Au lieu d'attaquer la tête la première un ennemi puissant et concentré, fragmentez-le en petits groupes vulnérables. Au lieu de frapper le premier, attendez votre heure et frappez seulement après que l'ennemi ait d'abord frappé.

Cette stratégie conseille de soulager les assiégés en assiégeant la base des assiégeants. Quand l'ennemi déploie ses forces principales pour attaquer un état voisin mais rencontre une résistance opiniâtre, la meilleure voie pour aider ce voisin est de lancer une invasion vers le territoire ennemi.

La force principale de l'ennemi n'aura d'autre choix que de rentrer à double vitesse, une embuscade peut alors être effectivement conduite pour remporter une victoire décisive.

Dans un sens plus large, la stratégie indique de concentrer vos forces pour attaquer le point faible de l'ennemi. Dans la littérature militaire chinoise, combattre l'ennemi est souvent assimilé à la régulation des rivières.

Quand l'ennemi est furieux et surpuissant comme un flot déchaîné, on doit éviter une confrontation de face et attendre jusqu'à ce qu'il ait perdu son élan, comme mener le flot dans une rivière dégagée pour le calmer et le rendre contrôlable.

Comme pour un ennemi mineur, on peut construire une « digue » pour stopper son mouvement et attaquer ses points faibles et l'anéantir.



3. Assassiner avec une épée d'emprunt


Utilise les ressources d'un autre pour faire ton travail.

Quand les intentions de l'ennemi sont évidentes et que l'attitude de l'allié est hésitante, amenez vos alliés à attaquer vos ennemis pendant que vous préservez vos propres forces.

Pour éviter d'être incriminé dans une affaire de meurtre, certains peuvent mener leurs actions avec une « épée d'emprunt » qui fait référence à quelqu'un d'autre qui en veut à la victime. En conduisant un troisième élément à commettre le meurtre, vous pouvez atteindre votre but sans avoir à en assumer la responsabilité.

Dans un contexte martial, cette maxime conseille au dirigeant d'exploiter le conflit des divers pouvoirs. Pour combattre un ennemi fort, il faut découvrir une puissance en désaccord avec cet ennemi et l'amener à le combattre à votre place. De cette façon on obtient un résultat double avec un demi effort.

Selon les anciens stratèges militaires chinois, quand deux camps s'opposent et qu'entre soudainement en scène une autre force, le résultat final dépendra incontestablement de l'attitude de ce troisième camp ; il doit donc être gagné à votre cause par tous les moyens inimaginables.

Inversement, si un Etat tolère l'accroissement continu d'un voisin sans le contrôler ou en tirer usage, l'Etat est appelé à se détériorer.

* On peut déduire cela de l'hexagramme n°41 Sun (la diminution) (Cf. Stratégie Quatre). En temps de guerre, certains sont avantagés par l'affaiblissement de leurs alliés.

Cette technique a été utilisé par Zhou Yu lors de la bataille de Chi Bi, il avait fouetté Huang Gai en public, par la suite, ce dernier déclara vouloir rejoindre le camp adverse mais une fois arrivé dans le camp ennemi, il y mit le feu et assura la victoire face à Cao Cao.



4. Attendre en se reposant que l'ennemi s'épuise


Utilise la patience et use l'ennemi.

Il est possible d'amener l'ennemi dans une impasse sans même combattre. L'actif s'affaiblit et le passif se renforce.

L'attaquant et le défenseur sont les deux éléments fondamentaux de l'art de la guerre. L'attaquant a l'avantage de l'initiative. Celui qui attaque a le choix de la bataille, à laquelle le défenseur doit répondre par une contre-attaque. Mais cette stratégie insiste surtout sur les avantages de la défense.

En prenant une position que l'attaquant ne peut contourner et en s'assurant d'amples réserves, le défenseur à l'opportunité de préserver ses forces tout en attendant que l'ennemi s'épuise jusqu'à avoir perdu sa supériorité. Alors vient le moment pour le défenseur de contre-attaquer.

Connexion avec la stratégie Dix-Neuf.

* Tiré du texte de l'hexagramme n°41 du Yi Jing : Sun (la diminution). Cela relève d'une loi universelle de la nature : un élément hyper-actif va perdre son énergie et « gagner en faiblesse », tandis qu'un élément passif pourra préserver et développer sa force. En termes militaires, on doit éviter l'engagement avec un ennemi irrésistible jusqu'à ce que sa force s'épuise dans sa surexcitation.




5. Profiter de l'incendie pour piller et voler


Exploite et tire parti d'opportunités au fur et à mesure de l'aggravation de la situation chaotique de l'adversaire.

Quand l'ennemi traverse une crise majeure, saisissez la chance d'obtenir un avantage. La résolution l'emporte sur la faiblesse.

Une maison en flammes sombre dans le désordre et la confusion. Ainsi un voleur peut avoir l'occasion de piller les biens d'une maison pendant que le portier et les gardes sont occupés à combattre le feu. Cette maxime signifie donc tirer avantage des déboires d'autrui afin de lui causer du tort.

En temps de guerre, la maison en flammes symbolise le pays qui souffre de graves troubles ou qui est sur le déclin. En attaquant un tel pays, on aura un double bénéfice avec un demi effort.

Ainsi cette stratégie recommande le principe universel de frapper les points faibles de l'ennemi et, en ce sens, elle se rapporte à plusieurs autres stratégies.

Par exemple, quand on choisit de mettre le feu à une maison avant de la piller sans résistance plutôt que de s'arranger avec les gardes, on peut aussi dire que l'on applique la stratégie Dix-Neuf : « ôter le feu de sous le chaudron ». Si seul un mouvement tactique plutôt qu'un schéma stratégique est impliqué, on est face à la stratégie Douze : « Emmener la chèvre en passant ».

Connexion avec la stratégie Douze.

* Texte issu de l'hexagramme n°43 du Yi Jing : Guai (la détermination). En temps de guerre, quand un ennemi puissant accuse un grand retard, on doit alors saisir l'opportunité de l'attaquer avec rapidité et détermination.

 
 

6. Bruit à l'est ; attaque à l'ouest


Induit en erreur le commandement adverse et sème le doute dans ses rangs.

Le commandement ennemi est désorienté et perd sa sobriété, avec le symbole du lac en haut et la terre en bas, signifiant que l'eau de la rivière est prête à inonder la rive.

A la guerre, on peut obtenir l'effet de surprise aussi bien par la tromperie que par la rapidité de mouvement des troupes. Un proverbe chinois dit : « il n'y a jamais trop de ruse durant la guerre ».

Cependant, cette stratégie avertit qu'il faut s'assurer du manque de jugement de l'ennemi avant de faire des feintes de mouvement pour le tromper. Un commandant avec une bonne présence d'esprit connaît ses forces et ses faiblesses, il déploie donc ses troupes en conséquence ; il n'est ainsi pas susceptible d'être dupé par les mouvements trompeurs de l'ennemi.

Il peut même feindre d'être trompé et retourner ainsi les ruses de l'ennemi contre lui. Par conséquence, quand on veut tromper l'ennemi, il faut avoir à l'esprit de semer la confusion chez lui. Ainsi Sun Zi observe « Dans le passé, ceux qui avaient l'art de diriger les opérations de guerre s'assuraient d'abord d'être invincibles et ensuite attendaient une occasion de battre l'ennemi ».

Cf. Sun Zi Bingfa VI

* D'après le texte de l'hexagramme n°45 du Yi Jing, Cui (rassembler)... Ainsi une foule de forces qui sont réunies pour défendre une ville doit avoir un commandement uni de façon à pouvoir soutenir le siège de l'ennemi. S'ils deviennent divisés dans leurs opinion ou hésitants quant à leurs arguments, la situation deviendra incontrôlable.




II. STRATAGÈMES POUR LA CONFRONTATION


7. Créer quelque chose ex-nihilo


Change ce qui était sans substance en une réalité.

Faire une feinte, non pour la faire passer pour la réalité mais pour la faire devenir réalité après que l'ennemi soit convaincu qu'il s'agit bien d'une feinte. La force authentique croît sous une fausse apparence, tel le Yin croissant à son maximum pour se transformer en Yang. Autre traduction : un coup faux, un coup faux, un coup vrai.

Cette maxime est communément utilisée aujourd'hui pour désigner une personne qui fait une déclaration, généralement une accusation, absolument sans fondement.

A la guerre, il est souvent nécessaire de feindre des manœuvres pour distraire et induire en erreur l'ennemi. Cependant, ce type de ruse est aisément identifiable et devient rapidement sans effet. En outre, l'ennemi ne pourra être défait que par une action authentique et non par une simple feinte.

Par conséquent, un stratège de guerre judicieux sait non seulement comment tromper l'ennemi par des feintes mais aussi quand transformer celles-ci en véritables opérations de combat.

Illustrations :

« ...on peut tromper une fausse attaque, puis frapper réellement, laisser l'ennemi prendre conscience de son erreur et, grâce à cela, le tromper encore. » cf. Le sac à malices de Yin Bingshang

« Quand le faux devient vrai, le vrai lui-même n'est plus qu'un mirage. Quand le néant devient réalité, la réalité à son tour bascule dans le néant. » cf. Le Rêve dans le pavillon rouge.



8. L'avancée secrète vers chencang


Détruit l'adversaire en menant une fausse attaque dans une direction alors que c'est ailleurs, là où il ne se défend pas, que porte la véritable offensive.

Faire une manœuvre de diversion pour fixer la force principale de l'adversaire. Il est profitable d'adopter une disposition conforme à la situation.

Cette maxime fait référence à la stratégie utilisée par Lin Bang, fondateur de la dynastie Han, quand il mena une campagne contre son rival pour le contrôle de l'empire Xiang Yu.

Il donna l'illusion de se préparer à venir par le chemin normal mais pendant ce temps expédia son armée par une voie détournée à Chencang, prenant ainsi l'ennemi par surprise et gagnant un large territoire pour un faible coût.

Ce stratagème insiste sur la mise en œuvre d'un mouvement de diversion, usuellement une attaque frontale, pour dissimuler la manœuvre secrète qui doit déborder l'ennemi.

Ceci est fondamentalement en accord avec la stratégie de Sun Zi visant à combattre l'ennemi avec des forces ordinaires et à le défaire avec des forces spéciales, mais seulement dans le cas où cet ennemi est maintenu en respect non par la présence de la puissance principale, mais par un mouvement de diversion, qui requiert néanmoins quelques actions concrètes pour en établir la crédibilité.

Cf Sun Zi Bingfa V (Qi/Zhen)



9. Regarder le feu depuis l'autre rive

Laisse tes adversaires se déchirer entre eux pendant que tu attends en regardant, et plus tard balaye le survivant épuisé.

Quand la désunion de l'ennemi devient apparente, ne pas agir mais au contraire attendre le bouleversement maximal. De cruelles dissensions internes ne pourront que causer la mort de l'ennemi par ses propres mains. Agir au moment opportun apporte la félicité.

Bien que lors des manœuvres militaires on attache une grande importance à la rapidité, un bon général doit maîtriser l'art du retard. Il ne doit pas chercher la confrontation à tout prix mais, à l'inverse, il doit attendre son heure et patienter jusqu'au meilleur moment pour attaquer, idéalement quand son armée est au mieux de sa forme et quand l'adversaire est au plus bas. Tel est le principe de base de toutes les stratégies agissant à retardement.

Pour moissonner les lauriers d'une guerre, usez de divers éléments d'une autre règle de base de la guerre : l'utilisation de forces extérieures pour parvenir à vos fins.

De la sorte on met en rapport cette stratégie avec la stratégie Trois « Assassiner avec une épée d'emprunt » ce qui est plus difficile à mettre en œuvre car il faut le plus souvent manipuler conjointement plusieurs forces, qu'elles soient alliées, ennemies ou sans relations.

* Tiré de l'hexagramme n°16 du Yi Jing : Yu (l'exubérance)... A la guerre, le texte recommande d'attendre le moment propice. Tel le tonnerre qui ne frappe pas durant l'hiver, un chef militaire se retient d'agir jusqu'au moment favorable.



10. Dissimuler une épée dans un sourire


Pour que tes adversaires soient sereins et sans crainte, dissimule l'hostilité sous l'apparence de l'amitié.

Rassurez l'ennemi pour le rendre négligent, travaillez en secret pour le subjuguer, préparez-vous pleinement avant de passer à l'action pour empêcher l'ennemi de changer d'état d'esprit : c'est la méthode pour dissimuler une puissante volonté sous une apparence docile.

Cette maxime représente un archétype de la littérature universelle : une personne avec un visage souriant et un cœur cruel, connu dans le folklore chinois comme le « tigre souriant ».

Dans la vie quotidienne, certains deviennent plus judicieux après s'être fait mystifier par un tel tigre souriant. A la guerre, une sagesse si tardive n'a que peu ou pas d'usage, car payée un tel prix qu'on ne peut se permettre le luxe de se l'offrir.

Par conséquence, avant que le résultat de la guerre ne soit manifeste, une proposition de paix sera toujours reçue avec suspicion. Ainsi il est préférable d'avoir à faire à un général ennemi trop sûr de lui pour que ce stratagème soit couronné de succès.
 
 
*** Fin de l'extrait. Page 18 sur 72 *** 


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